France Brevet (usine à dépôt de brevet de l'État) signe un accord avec l'INRIA (Institut National de Recherche en Informatique et Automatique), afin de "copyrighter" le travail des chercheurs et d'en tirer un bénéfice certain. Avant cet accord, l'INRIA sortait la plus part de ses logiciels sous licence libre, maintenant il faudra payer ... Encore.
France Brevet a été créé dans le but d'acheter des idées et de déposer les brevets, pour ensuite faire la chasse aux "violeurs de droit", dans la plus parfaite indifférence, par l'État Français.
Je ne peux pas tout vous détailler car il est très dur de se renseigner de façon sûre sur le sujet mais une chose est certaine, c'est un coup très dur pour le librisme et les petites entreprises de développement. Je vous conseil un article (ce qui est rare) : linux : avis d'un étudiant, france-brevet je le trouve non seulement vrai mais aussi plein de désespoir, les étudiants apprennent qu'il faut déposer un brevet seulement si l'entreprise a les moyens de tenir en justice ... Ça fait réfléchir non ?
Bien évidemment je vous donne la source qui m'a donné envie de me renseigner sur le sujet : Numerama .
Pour conclure, le librisme subit un coup dur mais je suis certain que nous continuerons de créer dans un autre but que l'argent.
Bonne création les Lecteurs.
on est bon qu'a cracher du fric, pff c'est pas juste!
RépondreSupprimerT'as un peu mal compris, là :)
RépondreSupprimer"Avant cet accord, l'INRIA sortait la plus part de ses logiciels sous licence libre, maintenant il faudra payer ... Encore"
C'est faux. Avant et après cet accord, les logiciels de l'INRIA restent sous licence libre. Les brevets logiciels sont interdits par l'Europe.
Le risque ici, c'est que l'INRIA dirige les chercheurs vers des recherches qui peuvent générer des brevets plutôt que vers des logiciels libres.
Merci de ces précisions, toujours est il que c'est encore "nous" qui allons en pâtir !!
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